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💖 Une psy un peu paumée, beaucoup trop enthousiaste
Anna Kendrick raconte qu’elle a lu le scénario de 50/50 en 2009… puis silence radio pendant des mois 😅. À Noël, surprise ! On lui propose enfin le rôle de Katherine, une jeune psychologue maladroite et pleine de bonne volonté.
« Je pensais que le projet avait disparu », confie-t-elle, « et soudain, il est revenu comme un cadeau de Noël ! »
Au début, Anna pensait que son personnage était inspiré d’une vraie personne, mais le réalisateur Jonathan Levine l’a vite rassurée : “Non, c’est une création totale, amuse-toi !”
Résultat ? Elle a choisi d’interpréter une jeune femme trop passionnée, un peu perdue, qui veut tellement aider qu’elle finit par s’emmêler les pinceaux. Totalement attachante, non ?
🎭 La peur des vrais psys… et une psy “ratée” assumée
Quand on lui demande si elle redoutait le regard des vrais psychologues, Anna avoue avoir eu la trouille.
« Une femme m’a dit à la première de New York : “Je suis psychologue…” et j’ai cru que j’allais me faire engueuler ! Mais en fait, elle était hyper cool. »
Elle explique qu’elle s’est inspirée d’une pro qui lui a raconté ses propres erreurs de jeunesse. Anna a alors rassemblé tous ces “fails” dans un seul personnage, un peu maladroit mais profondément humain.
💞 Son premier rôle romantique !
Ce que peu de gens savent, c’est que 50/50 a été son tout premier rôle romantique.
« Je ne l’ai réalisé qu’en tournant les scènes de flirt avec Joseph Gordon-Levitt », avoue-t-elle.
Et elle a galéré ! 😅
« J’étais épuisée sans comprendre pourquoi ! Tenir ce ton charmant pendant 12 heures, c’est dur ! »
Leur première scène ensemble ? Celle où elle lui donne son numéro… alors qu’ils venaient de se rencontrer 20 minutes avant ! Et pourtant, la magie opère. ✨
🎬 Petits plateaux, grands moments
Entre un blockbuster comme Twilight et un film plus intimiste comme 50/50, Anna sait ce qu’elle préfère.
« Les grands tournages, c’est trop de stress, trop d’attente. Sur les petits films, on se sent libre, plus proche des gens. »
Elle confie avoir adoré l’ambiance “cool et sans prise de tête” du réalisateur Jonathan Levine.
« On tournait, puis on traînait, puis on tournait à nouveau. C’était comme une bande de potes. »
🧛♀️ Et Twilight, dans tout ça ?
Impossible d’y échapper 😅.
« Ça revient dans toutes les interviews ! » rit-elle.
Mais Anna reste lucide : elle sait qu’elle a eu la chance de participer à la saga sans subir la folie médiatique vécue par Kristen Stewart et Robert Pattinson.
« Je me sens super chanceuse. J’ai eu le meilleur sans le pire. »
Et non, elle ne pense pas que son rôle dans Twilight attire plus de spectateurs à 50/50 :
« Les gens vont voir un film parce que l’histoire les touche, pas pour un nom. »
😂 Tournage, fous rires et moments gênants
L’ambiance sur le plateau ? Ultra chill, même si le film parle de cancer.
« Heureusement, Will Reiser, le scénariste qui a vraiment vécu cette histoire, était là tout le temps. Il nous gardait honnêtes. »
Et pour l’anecdote : le fameux moment où son personnage touche maladroitement Joe (dans la scène de l’hôpital)…
« C’était encore plus bizarre à tourner qu’à regarder ! »
🎥 Ce qu’on retient d’Anna Kendrick dans 50/50
🌿 Naturelle, drôle, touchante, un peu gauche mais pleine de sincérité.
💬 Elle nous prouve qu’on peut rire, aimer et apprendre, même au cœur d’un drame.
Et surtout, qu’elle brille toujours plus dans les films “humains”, où tout son talent ressort sans artifices.
❤️ En résumé
Anna Kendrick dans 50/50, c’est la preuve qu’on peut être maladroite, stressée et pourtant incroyablement juste.
Et si tu pensais qu’elle n’était qu’une “fille de Twilight”, ce film va te faire changer d’avis. 🎥💫

Passionnée par le cinéma, les séries et la pop culture, Eva Vibes partage ses coups de cœur et ses découvertes avec enthousiasme.
Grande admiratrice d’Anna Kendrick, elle aime mettre en lumière ses rôles marquants, suivre ses projets à venir et discuter de tout ce qui fait briller son univers unique.